Diane Tell avec Choeur en concert

Diane Tell avec Choeur en concert

ABBEVILLE 80

Dans le cadre du Festival International des Chœurs et Voix d’Abbeville.

L’artiste présentera ses plus belles chansons “Si j’étais un homme”, “la légende de Jimmy” en duo accompagné d’un choeur amateur abbevillois spécialement créé pour l’évènement.

Diane Tell, née Fortin, au Québec en 1959, grandit à Vald’Or où elle rêve de devenir skieuse professionnelle, puis déménage à Montréal avec sa famille en 1969.
Diane Tell commence à suivre des cours au conservatoire de musique et finit par choisir la guitare comme instrument de prédilection.
En 1974, Diane Tell commence à travailler comme choriste et chante du jazz dans les bars de Montréal. En 1977, elle publie un premier album qu’elle a écrit et composé.

Les titres “Les cinémas-bars” et “Un verre d’amour” retiennent rapidement l’attention du public et des médias. Sa notoriété s’accroît au Québec en 1979 et Diane est même élue révélation de l’année au Gala de l’ADISQ, première artiste féminine à connaître un vrai succès populaire en tant qu’auteur compositeur et interprète.
Son troisième disque intitulé “En flèche” fait décoller sa carrière. Avec Si j’étais un homme, Diane Tell reçoit le Félix de la chanson de l’année en 1981. Elle rafle en plus les Félix de l’interprète féminine, de l’auteur-compositeur-interprète et du meilleur album de l’année. Avec l’album Chimères, qui montre ses influences jazz très marquées, elle remporte le trophée des révélations au MIDEM de Cannes en 1982.
En 1983, Diane enregistre la chanson du film Bonheur d’occasion de Claude Fournier puis s’installe à Paris pour développer sa carrière européenne. Avec l’album Faire à nouveau connaissance, en 1986, elle reçoit une Victoire de la Musique.
Diane Tell est désormais une vraie vedette en France : elle a investi l’Olympia trois fois, chanté aux Francofolies de la Rochelle et lors d’une tournée en Europe, interprété des auteurs aussi prestigieux que Françoise Hardy, Maryse Wolinski ou Boris Bergman.
Au début des années 90, Michel Berger et Luc Plamondon lui donnent un des rôles principaux de La Légende de Jimmy, mise en scène par Jérôme Savary, puis en 1991, la chanteuse tient la vedette, de la comédie musicale classique (scènes de comédies et chansons) Marilyn Montreuil, dont elle a intégralement composé la musique, au Palais-Chaillot à Paris. Ensuite, elle participe au téléfilm “Ne m’appelez pas ma petite” (1994) de Jean Becker aux côtés de Lio et Fabrice Luchini.
Parallèlement, Diane Tell prépare méticuleusement l’album “Désir plaisir” soupir qui paraît finalement en 1995.
Sur ce disque figure une reprise très réussie de La maison où j’ai grandi de Françoise Hardy, qu’elle interprètera d’ailleurs en duo avec Maurane à la télévision.
Sensible à la misère des pays en voie de développement, Diane Tell apprend à piloter afin d’accomplir plusieurs actions humanitaires en Afrique au sein d’Air Solidarité, une association dont elle devient la marraine.
Tout de Diane Tell, qui paraît en 2003, contient également Boule de moi, un inédit dont le texte est de Laurent Ruquier. Deux ans plus tard, elle épouse en 2004, Pierre Arostéguy, propriétaire de la plus ancienne épicerie de famille de France (depuis 1875), la Maison Arostéguy.
En 2005 sort le très réussi Popeline, l’un de ses albums les plus aboutis. Y figurent notamment Souviens-toi, un texte de Yann Moix, l’auteur de Podium, et Reprenons de départ, une adaptation signée Diane de The Scientist de Coldplay.
Elle propose en 2006 un projet radiophonique à Bernard Chereze, alors directeur des programmes de France Inter. Contre toute attente, son émission Les Louves sera à l’antenne quotidiennement durant 9 semaines pendant l’été 2006.
Diane Tell vit depuis plusieurs années en France, sur la Côte Basque où elle peut assouvir ses autres passions, dont la voile.

18h au Théâtre.

Tarif 13€/9€.

Infos : 03 22 20 26 86

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Abbeville

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